Change-on vraiment ?

 Je ne me défini pas, beaucoup trop de questions! J'accepte dans l'indifférence la plus totale... Est-ce vraiment ce que je veux? Pourquoi cette question d'abord ? Si elle se pose pas, ai-je besoin d'y répondre...

Le fond de ma personne se fout de savoir si j'ai changé, si je m'en aperçois pas, allons de l'avant! C'est peut être mon entourage qui me l'a posé ! 

Ce sont souvent lors de comparaison situationnel ou contextuel que le thème est abordé. Peut-on se définir mieux mentalement sans avoir l'habitude de se questionner ? Cela n'est que mon avis mais il me semble que oui à quelque condition. 

Si j'arrive à rester ancré dans mon quotidien tout en portant mon attention ailleurs par exemple.

Un avis sur un thème palpable tout le temps!

Entrevoir

 Comment je vois l'avenir d'un point de vue personnel, réel et défini par mon ressentis. De mon ressentis, j'entend la douleur qu'est l'avenir, de cette impossibilité de voir à travers. Comme un miroir sans verre. L'avenir pour moi, n'adviendra de mes choix, logique me diriez vous, mais n'ai logique que ce que l'on pense acquis. Je n'aime pas vraiment entrevoir les choses, cela me stress au jour chaque jour.Les trois temps que sont le passé, présent et futur, représente à mes yeux, la racine, la tige et le pistil de la fleurs.J'aime les fleurs.

Libre exercice

Je prend ce morceau de pain qui me plait, le déguste mie par mie, c'est délicieux. Que de penser au lieux de le dire. Qu'un moment comme celui-ci peut se répéter tout les jours, et chaque moment différent, sa sera une aventure unique, au jour le jour. Cela se nomme "Exercice", celui de se rendre compte, d'analyser, d'apprécier et d'aimer. Peut être que je n'aime pas ça, mais au final la répétition éprouve un besoin réel d'envie et désir.

Je longe

Sentier perdu, solitude exemplaire...Rien à cirer, je me conforte de la solitude, c'est un sentiment à double effet, être certain de ne pas être mal accompagner et d'activé une souffrance existentiel, véritablement je me fous de cette souffrance. Qu'est ce que la souffrance la plus tenace? Votre ressentis voila tout. Sentier retrouvé, solitude approuvé...Souhaitons souffrir pour ressentir la vie, un état ne va pas l'un sans l'autre, plus qu'un besoin, c'est une vérité, une réalité que l'on s'inflige même sans faire attention. Le son de la solitude est aussi existant que la symphonie macabre d'un bonheur perdu. La désinvolture de notre comportement peu se justifier, je longe les murs à la recherche d'une réponse, le gris des murs, les mousses qui vivent dessus sont une ombre au tableau, elle me pousse à me questionné, c'est une image de la vie, le gris représente l'amertume. Amer de vivre?Non juste de toujours penser. 

Inspecteur des relations humaines

 L'inspecteur est celui qui conçoit les relation humaines comme complexe, l'individu est complexe, la relation est tendue ou intuitive.L'approche peu se vouloir délicate ou tendre mais au final c'est comme un tétris, les relations sont des blocs qui vont les uns dans les autres pour parfaire un monde de briques et de briques.Le plus incroyable n'est pas la relation mais ce que peu penser l'individu de son approche, est elle toxique? est elle bienvenue?La relation n'a d'humaine que l'approche, le contact, le dialogue, le discours et l'échange de bon procédé c'est un milshake de valeurs en bon ou mauvais terme.Les relations ne sont pas comme le ying et le yang mais comme le yoyo c'est un petit bloc de plastique qui rebondis sur les aléas de la vie.

Machine à laver, humain créateur inconditionnel

 L'écume de l'eau, le souffle du séchage. Le scintillement des porcelaines sont un épais socle sur lequel repose le désir d'illuminé pour ses êtres embourgeoisé.

N'est trésor qu'au yeux de l'humain, et sans valeur au yeux du néant.Quant est il du savoir faire? Est ce que concevoir est un trésor tenace?On en pense ce que l'on veux, seul l'homme est juge de lui même. 

La machine n'est peu être que le témoin de cet espèce qui se veux farfelue et avec des sentiments.

Un sentiment...Si une machine n'en a pas alors un arbre non plus, ce qui nous paraît dénuer de vie est peut être plus vivant encore que plusieurs espèce réunis dont la notre. 

Concevoir pour se juger, concevoir pour s'approprier un savoir transmit.C'est une richesse en soit qui n'a que le temps et l'oublie comme ennemi.

Le temps, la notion la plus significative et qui peut être na que de réalité notre sensation.La machine qui à conçu toute ses théories,ses façon de pensée n'en est pas moi un être vivant.Un être humain, une machine, ce qui relie les deux n'est pas la création ou la domination de l'un sur l'autre mais bien le caractère évolutif de l'homme et de la machine.

Surprise ou bien bétise

 La surprise entre tous ça, est que le symbole que s'octroie chaque individu est peut être parfois superficiel, la vrai raison qui nous pousse à vouloir nous surpasser, changer ou bien paraître autre chose que notre vrai nature, nous pousse parfois à nous remettre en questions. La remise en question est elle légitime quand l'individu se l'inflige? Pour moi, la remise en question se doit d'être douce et en accord avec ses principes, en ce que l'on crois, ce que l'on veux et ce que l'on cherche. Ce que l'on veux et ce que l'on cherche forme une paire de superflue par contre nos principes peuvent être intangible et ceux sur le long terme.