mercredi 2 septembre 2020

Extrême violence d'esprit pour acte de raison

 La violence qui occupe l'esprit, une rage qui monte ou parfois soudaine.Une action qui arrive, parfois aussi rapide que bénéfique, celle de revenir à la raison. Lorsque violence rime avec vision et prise de conscience avec acte de raison, le principal est de trouvé une voie, celle qui arrange l'esprit avec le corps, qui du passage à l'acte l'en empêche au quotidien.


Le bonheur est le vaccin à l'ennuie que nous vivons au jour le jour, dans un laboratoire ou le quotidien de chacun est épié à la loupe par son voisin , ma raison de vivre se base sur un principe lié a ça, celui de ne pas croire, celui de ne pas voir, de vivre dans un déni constant ou ma vision éffleure parfois la réalité...

La dualité entre une joie se voulant durable et une immersion dans les profondeurs dépressive

 A tout vouloir contrôler dans mes habitudes, je vois le monde comme un système qui veut aussi contrôler mon esprit. Bien qu'étant une légende véritable, je m'enfonce dans un choix illustre, celui de ne pas croire à toutes ses sottises et de m'enfermer dans une solitude inconditionnel.
Je veux être coupé du monde non pas un jour, pas une semaine mais pour longtemps.Je veux que mon corps ressentent les chocs, les brimades, les aléas de la vie mais aussi que mon esprit se conforte dans sa situation, qu'il croit que ce n'est que temporaire et que la vie évolue et vaut la peine d'être vécu.


En cette dualité, qu'elle est la meilleur chose à faire subir et vivre? ou subir vivre et se remettre en question?Tout les textes du monde ne valent aucunement l'action,le choix qui en découle.Je ne veux pas d'un monde meilleur mais d'un monde correct.