La nuit m'éclaire au volant de cette voiture, ma volonté propre s'en retrouve aussi la cible,
Le propriétaire de ce véhicule n'est autre que l'entreprise du mal clairsemé de bourgeon révélant les nids d'abeilles qui me pourchassent.
A l'aube d'un enfer propice à me mettre mal à l'aise, ces mêmes insectes me disent de faire attention au luge qui glisse le long du ciel, la glace chaleureuse me tend la main et me poursuit dans ses même songes de l'infini.
L'infini est délimité par son éloquence, le plus à même de m'impressionné est la tasse de thé glacée qui me sert un café chaud.
Dans une tasse si grande quel englobe mon univers galactique, dans un manoir humide et chaleureux, la ou l'acceuil se fait sentir mais la présence s'oublie très vite.
Je passe ma vie à couvée des problèmes qui me dépassent, alors que ma familles couve les miens sans cesse.
D'une grande ligne à une très petite ce qui défini mes rêves n'est autre que l'envie d'y de dormir.
