dimanche 25 août 2019

J'accepte la mort, mais j'accepte aussi de vivre

Entre toute bonne chose, tout ses moments de la vie que nous avons fait ou allons vivre sont des rouages.
Des rouages qui organisent des cycles selon nos choix qui influent sur le futur.

Au futur incertain, un passé nostalgique.
Accepter sa mort, c'est fleurir l'idée,
Que de mener sa vie, est un danger,
Qui perpétuel dans son cycle,
Est bel et bien une longe route,
Une initiation au voyage,
Celui de bâtir et de construire,
De petit cycle suivant,
Qui selon la direction,
Nous emmène la ou on le souhaite...


La depression un combat de longue haleine

Sur bien des aspects la dépression me guette chaque jour , au jour le jour.
Bien qu'essayant de "lutter" contre elle, il est impossible dans les faits.

Mon combat est d'essayer d'accepter la situation ,je vis tout les jours avec une envie, celle de mourir,
Quitter ce monde, dans un but inexistant, il n'y a pas de réconfort dans la mort, juste un dénie, celui de vouloir peut être ne pas voir la réalité en face.

Une réalité qui se veux oppressantes, parfois insignifiantes mais qui se veux réel et bien la.
La vie sans souffrance c'est pas la vie en soit, pour me maintenir en vie je me doit de m'infliger des souffrances selon moi.

Je pense que chaque personne qui vis ses moments ne cherche pas à les vivre, elle ne les s'inflige pas mais il y a comme une realité qui fait que l'on satisfait plus de cette propre realité qui nous est proche.

Vive dans un voile qui obscurcie les sens même de la vie, est un frein non pas au bonheur mais à la bonne humeur bien que temporaire,elle nous construit, nous rassure et nous pousse à trouver des solutions.

Le sens de la vie que l'on recherche est floue, vaste et sans idée précise alors qu'il est peut être dejà devant nous sans le savoir,
Se poser mille questions pour n'en trouver qu'une seule réponse représente pour moi un espoir,celui de se dire que nous ne sommes pas inactifs dans cette souffrance quotidienne.

Parfois je me dit que je veux réellement mourir, en finir, mais  je pense préférer à tout cela un masochisme celui d'accepter de souffrir pour combattre cette idée de mourir.

Vouloir la mort, c'est pas un acte, c'est pas de la lacheté mais belle et bien la recherche de soit même dans un conflit interieure qui nous pousse volontairement à nous remettre en question.

A bien des égards, je préfère souffrir toute ma vie que de passer de très bon moments et mourir en suivant.
Parceque la souffrance morale est un ressentie, celui d'une prise de conscience du moment actuel que l'on vie entre une nostalgie du passé et d'une peur d'un futur incertain.

Nous disons en général que la vie est un cycle, la souffrance l'est tout autant.

jeudi 15 août 2019

Brandir c'est grandir

Je brandit fièrement un simple linge blanc, pureté manquer ou signe de paix,
Je fais en sorte d'être à la fois combattif avec moi même et compréhensif avec l'ennemi,

Qui donc ose être l'être qui m'en voudrais autant, et bien par principe mon fort intérieure qui dans un passé antérieure n'était pas la pour me soutenir.

J'ai grandit et à l'avenir, le temps passe, il ricane de voir que je passe mon temps à ne pas le voir, bien que je fais attention à lui en regardant une horloge, je brandit ce linge blanc pour essuyer la sueur sur mon front.

Une défaite qu'il ma mis ou ce temps si précieux qui ne l'est que si on le veux vraiment et qui bien qu'étant une perception vivace elle peut être aussi passive que moi sur le divan!

Je ricane aussi de voir que ma vie n'est que l'engrenage d'une autre, qui aussi et ainsi de suite.

Je maitrîse rien sauf le paquet de chips que je brandis dans le main et qui au final me laisse à penser qu'il n'y a que mon corps qui est grandit.

Un pansement

Je m'inspire et vis, au faux-paradis,
J'incarne un être maléfique, sombre à l'esprit tenace,
de croire encore qu'en ce monde tout est faisable,

Une liberté qui s'éfface, celle de pouvoir faire autrement,
Je laisse un genou à terre, pour montrer ma volonté de défaite,
Un trou apparaît au sol, ma tombe peut être,

A bien des égards, je me remémorent ma vie, mon passé insoutenable dans une douleur profonde.
J'encaisse en apparence , je pleure et je me réincarne en un divin petit néant, celui d'une mort douce et probable.

Une fleurs m'accompagne dans ce moment qu'est la fin de sa vie, une tendresse peut être, un accomplissement, une fin ou un renouveau, un pansement peut être ou une guérison de ma vie prochaine en un chat qui passera ses journées à roupillé.